C’est peut-être parce que dans le centre de Cusco le touriste est constamment sollicité ou parce que la ville vue de haut est magnifique, ou les deux… Toujours est-il que nous avons bien souvent cherché à prendre de la hauteur.
Le « nombril du monde », tel que l’appelaient les Incas, est situé dans une cuvette à 3400 mètres d’altitude au cœur de la cordillère des Andes. Dès que l’on empreinte l’un des nombreux escaliers (ça paraît facile comme ça, mais en fait pas du tout, le souffle est court et les jambes tirent un peu !), on jouit d’une vue époustouflante sur la ville.
Lors de notre séjour, Cusco préparait la San Jeronimo, fête dédiée à son saint patron. Le jour de notre arrivée, la place d’Armes grouillait de groupes de danseurs dans des tenues plus bariolées les unes que les autres. Un spectacle particulièrement prisé des locaux.
A Cusco, nous avons continué à faire plaisir à notre palais, depuis les plats achetés trois fois rien au marché ou dans la rue (soupe de quinoa, empanadas) jusqu’aux mets un peu plus élaborés (poivron farci, salade de quinoa ou cochon d’Inde grillé, mais qui n’a pas totalement convaincu Bertrand).
Merci de nous avoir épargné la photo du cochon d’inde grillé… j’aime beaucoup la photo de l’homme qui lit son journal sur la place d’Armes.
Moi aussi j’aime beaucoup cette photo !
on veut du cuyyyyy!!on adore ça!
ce que j’aime, c’est la photo du marché des jus avec les pancartes en hébreu…tres local!